Un intéressant écho à ma note sur les rendez vous non honorés et comment lutter contre. Tu ne viens pas, tu ne préviens pas car tu vas consulter ailleurs. On refuse de te donner un nouveau rendez vous et que croyez vous qu’il se passe. Le « tu » va porter plainte contre le « on » qui est bien évidement un monstre d’égoïsme et qui ne pense qu’à ses revenus.
La prochaine fois que vous refuserez de donner un rdv pour cause de lapins trop fréquents peut être que vous vous retrouverez convoquer au commissariat ou à la gendarmerie.
On vit une époque formidable…
Ce n’est pas parce qu’il y a (menace d’)une plainte qu’elle sera considérée comme recevable. Quel serait le motif? La convocation au commissariat ne me semble pas pour demain.
le pb d’internet, c’est qu’il amplifie énormément des épiphénomènes locaux et on a l’impression qu’ils deviennent la norme.
J’ai une fois appelé les gendarmes pour évacuer de ma salle d’attente un patient que je ne voulais pas recevoir.
Une fois en 30 ans et cela ne s’est jamais reproduit.
Je suis d’accord sur la problématique caisse de résonance d’internet. Après je pense que c’est une vraie question que de savoir comment limiter les rendez vous non honorés. Cette histoire n’est pour l’instant qu’un case report. J’espère qu’elle le restera. Dans un pays qui voudrait bien faire disparaitre la clause de conscience pour les médecins, on peut s’attendre à tout. Parfois certains cases report ont eu un succès inattendu pour leurs auteurs http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/june_5.htm …